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LES COMMISSIONS

(anciennement Le Bureau des Femmes) de la FGTB Brabant wallon se compose de délégué-e-s, désigné-e-s par leur centrale professionnelle. Elle se réunit tous les deux mois pour débattre de l’actualité sociale, pour examiner les difficultés rencontrées par les femmes dans le monde du travail et dans la société en général, pour proposer des solutions et promouvoir l’égalité homme-femme.

La Commission relaye les positions des travailleuses avec ou sans emploi dans les lieux de décision de la FGTB et stimule l’engagement des femmes pour qu’elles augmentent leur participation active dans les instances de l’organisation.

Des formations, des colloques, des spectacles, des actions, destinés aux délégué-e-s et/ou à toutes et tous, sont organisés par la Commission. La Commission s’associe à toutes les grandes manifestations qui portent des revendications communes et s’investit dans l’organisation d’événements. (Marche mondiale des femmes, Journée pour l’égalité salariale, …).
La Commission Genre de la FGTB Brabant wallon tient à être présente le plus possible sur le terrain !!!

La lutte continue… Femmes FGTB, Femmes de combats !

est certainement de l’une de nos Commissions les plus active. Elle se réunit régulièrement et regroupe des Camarades de l’ensemble des centrales professionnelles.

Lors de ses réunions, la Commission analyse l’actualité politique et syndicale sous l’angle des pensionnés et prépensionnés.

Elle participe également aux activités de la FGTB wallonne et organise aussi des activités plus spécifiques sur le Brabant Wallon.

se réunit régulièrement afin de réaliser un travail de réflexion et d’action en vue de contribuer à l’intégration des personnes étrangères ou d’origine étrangère et de participer à la lutte contre le racisme.

Les principaux sujets et actions sont les suivants :

  • Lutte contre le centre fermé,
  • Le problème des sans-papiers,
  • Droit de vote des travailleurs étrangers,
  • Lutte contre le racisme,
  • Participation à l’action du Centre Régional pour l’Intégration des Personnes Etrangères ou d’Origine Etrangère (CRIBW).
  • Droit des étrangers
  • L’asbl FORABRA peut vous aider sur des problématiques d’ordre juridique en droit des étrangers.

    En tant que service juridique de première ligne,  l’équipe offre une écoute active aux intéressés, les informe sur l’étendue de leurs droits et les démarches à entreprendre et, au besoin, oriente vers les services compétents (CPAS, avocats, FOREM, Juristes …).

    En cas de nécessité, la rédaction de courriers et de recours peut être envisagée (exemple interpellation des autorités administratives, politiques….). 

    Les questions abordées sont vastes et peuvent concerner la naturalisation, le mariage avec un étrangers, le regroupement familial, le droit de séjour en Belgique, les étudiants étrangers, l’adoption, le droit au travail, les changements de statuts, l’aide sociale, les recours …..

  • Immigration : la position de la FGTB wallonne.
    • La migration, entendue comme le déplacement de populations à travers une ou plusieurs frontières, est un phénomène objectif. De tous temps, les hommes se sont déplacés sur la surface terrestre, d’un endroit à un autre, en traversant des lieux de vie occupés par d’autres groupes. L’évolution de l’État et ses mutations vers ses formes actuelles, l’ont amené à se soucier de plus en plus de sa population, d’abord en s’assurant simplement qu’elle soit nombreuse, puis qu’elle obéisse par la loi, ensuite qu’elle soit productive, et enfin qu’elle soit en bonne santé et intègre une série de normes de bonne conduite. Cette évolution s’est traduite dans l’histoire par une succession de politiques d’immigration très différentes, allant de l’inexistence de règles à l’émergence d’une vision plus utilitaire et économique du phénomène.

      Le fait que les politiques d’immigration aient été différentes à travers le passé proche indique qu’il n’existe pas de réponse politique « naturelle » au phénomène.

      De nombreuses questions sont en jeu : l’immigration aide-t-elle ou non le développement ?
      Est-elle ou non à même de mettre en danger l’État social ?
      Beaucoup insistent sur le fait que les politiques d’immigration actuelles permettent d’alimenter l’économie européenne avec une classe de travailleurs à bas salaires et sans syndicats.
      Or, pour nous, l’égalité des droits est un principe absolu, un des fondements de notre action. La concurrence entre travailleurs doit être combattue avec force. De nombreuses conventions internationales reprennent l’obligation de traiter de la même manière tous les travailleurs, qu’ils soient en ordre de séjour ou non : Convention ONU sur la protection de tous les travailleurs migrants, Convention de l’OIT N° 143 sur les travailleurs migrants, Convention Européenne des droits de l’homme et Charte des droits fondamentaux reprise dans les Traités de l’UE.

    • Ce sont des bases juridiques et politiques importantes pour nos revendications.
      Mais, ne faudrait-il pas plutôt, comme beaucoup le préconisent, accélérer le développement du Sud afin de freiner la pression migratoire sur le Nord ?
      C’est illusoire. En effet, les pays en voie de développement voient leur population croître plus vite que leurs marchés du travail.
      La migration du Sud vers le Nord ne va donc pas s’arrêter.
      Faut-il encore rappeler que la majorité des migrations se déroulent entre pays du sud ? De plus, la migration contribue au développement par les échanges de savoir et de richesses (les sommes envoyées par les migrants à leur famille correspondent au triple de l’aide publique au développement).
      Cette logique s’applique également aux politiques commerciales.
      Il faut renverser la pensée unique de rejet des flux migratoires. Nous l’avons dit, la migration est un fait. Il faut démonter les raisonnements faux mais souvent présentés comme des vérités absolues, il faut oser des positionnements ambitieux, motivés et à contre-courant. Il faut ensuite les enseigner et les défendre pour construire une autre société, riche des différences mais exigeante avec chacun de ses citoyens comme l’exige le principe d’égalité, base de notre action syndicale depuis plus de cent ans.

sert à:

  • Ne plus être seul face à ses problèmes.
  • Rencontrer d’autres personnes qui vivent les mêmes situations que soi.
  • S’organiser syndicalement pour défendre ses droits et améliorer la situation des chômeurs.
  • Retrouver un accès à des activités sociales et culturelles…
  • Informer en organisant des séances locales d’informations sur l’actualité en matière de législation du chômage.
  • Former en participant à la Commission des TSE, on approfondit ses connaissances sur les réglementations du chômage, la sécurité sociale et ses droits en général au travers de formations, conférences, débats et rencontres.
  • Donner son avis en participant aux groupes de travail, on analyse les situations en détail pour formuler des revendications d’amélioration dans tous les aspects de la vie des demandeurs d’emploi. Des représentants de la Commission des TSE, des sans emploi, participent à différentes instances de la FGTB pour y défendre le point de vue des chômeurs.